La censure de l’Internet consiste à empêcher l’accès ou la divulgation sur Internet de certaines informations jugées subversives par un organisme de réglementation au sein d’un pays. La censure de l’Internet a pris aujourd’hui une grande ampleur et se pratique dans tous les pays du monde. Cependant, cette pratique participe-t-elle pleinement à la liberté d’expression? Cet article se chargera donc d’apporter des éléments de réponse à ce sujet.
Il faut censurer pour protéger certaines informations sensibles dans un État
Pour assurer la protection de leur État, certains gouvernements pratiquent la censure de l’Internet. En effet, l’Internet est connu pour sa fulgurance en matière de partage d’informations. Il représente donc une arme redoutable dont la maîtrise peut participer à la sûreté de l’État et éviter des cas de diffamation et d’insurrection graves. Pour plus d’informations, veuillez cliquer sur le lien https://www.article11.net/. Lorsqu’il est question par exemple d’un secret d’État, on se rend compte qu’il s’agit des informations exclusivement sensibles qui peuvent mettre en danger la vie de certaines personnes et par ricochet créer un déséquilibre au plan national. Il est donc tout à fait logique de censurer dans ces genres de contextes pour assurer la sécurité de l’État. De plus, des personnes mal intentionnées passent par internet pour inciter des citoyens à poser des actes de récriminations; la censure de l’Internet peut se comprendre à ce niveau également.
Certaines censures ne sont pas pour le bien de tous
On convient tous que la gestion d’un État demande de la rigueur et de l’anticipation sur certains faits qui peuvent porter atteinte à la sûreté de l’État. Cependant, toutes les censures de l’Internet ne sont pas justifiées. Les organismes de réglementation dans différents pays avancent comme argument la sûreté de l’État pour empêcher la libre circulation des informations. Sur le plan éducatif par exemple, certains gouvernement préfèrent garder les citoyens dans l’ignorance en censurant l’accès à Internet.